Episode 222 de Super Ciné Battle, le podcast où nous établissons le classement ultime du cinéma. Nous prenons vos listes que vous nous adressez pour les classer, du meilleur au pire afin d’obtenir LA liste ultime.
Le cycle des 80s continue. Après avoir écumé les pires films lors de l’épisode précédent, on passe un peu à de la qualité signé Lumet pour ensuite explorer un des nanars les plus emblématiques qui soient. En fait, une véritable saga. On s’amuse vraiment bien, surtout que pour une fois, « Le passage » n’est pas impliqué. Evidemment, faut-il le préciser, pas de politique française dans ce podcast, jamais. Sauf dans nos recos. Pour nous envoyer des listes, c’est évidemment à envoyer à supercinebattle (at) gmail (point) com. N’hésitez pas à nous renvoyer vos anciennes listes remises à jour ou d’autres encore. Soyez originaux, soyez bons, et surtout bonne année !
Les recommandations (vers 1h23)
Stéphane : Dynasty Warriors Origins
Daniel : reco commune pour l’extraordinaire documentaire Vincent Lindon, coeur sanglant, disponible sur Arte.
Montage : DA
Plus que jamais, un immense merci à tous ceux qui nous soutiennent sur Patreon !

Merci pour l’émission !
Je valide totalement le documentaire sur/de Vincent Lindon également.
Sur ses qualités/défauts, c’est pas exactement ce qu’il dit au début. Il souligne bien d’une part, que tout le monde va le trouver ultra-prétentieux s’il cite ses qualités et d’autre part, qu’il est super incohérent ou paradoxal (comme tout être humain, j’ai envie de dire) puisqu’il se trouve bon et en même temps énormément égocentrique…
L’anecdote avec Michael Douglas, ça m’a pas fait penser à un abruti mais plutôt que ça illustre complètement son côté « je veux être numéro 1, je veux être le meilleur etc. ». C’est assez touchant aussi quelque part.
Et d’ailleurs, il revient sur Titane également. Il s’est demandé si le rôle était pour lui. Il l’intéressait mais surtout, encore une anecdote assez ouf, je trouve : il voulait faire le rôle car sinon, un autre l’aurait fait à sa place et ça, il n’aurait pu le supporter.
Cette volonté d’être absolument le numéro 1, c’est un aspect de sa personnalité que je ne connaissais pas et c’est clairement montré à maintes reprises dans le doc.